Des squelettes dans le placard ? Les musées d’archéologie face aux restes humains
Appel à communication // Propositions jusqu’au 31 octobre 2024 // archeomuse@culture.gouv.fr
Qu’il s’agisse de corps entiers ou de membres orphelins, qu’ils soient préhistoriques,
antiques, médiévaux ou modernes, les restes humains sont présents dans tous les musées
d’archéologie ou presque. Un grand nombre d’entre nous a déjà été confronté à ces
questions complexes ou le sera au cours de sa carrière. Comment intégrer ces biens dans nos
pratiques muséales en composant avec les valeurs de « respect, dignité et décence »
évoquées dans le Code civil ?
À l’occasion de sa 9e journée de rencontres, prévue les 30 et 31 janvier 2025 sur le Domaine national de Saint-Germain-en-Laye, le réseau ArchéoMuse vous propose de chercher ensemble, avec l’aide d’experts, des solutions concrètes pour aborder avec plus de sérénité ces vestiges hors normes, issus ici d’opérations archéologiques réalisées sur le territoire français.
Les propositions de communication abordant la thématique de manière technique, éthique et/ou réglementaire doivent privilégier l’analyse, la synthèse et la mise en perspective.
Pour plus d’informations concernant cet appel à communication, cliquez ici.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
reainfo (22 octobre 2024). Des squelettes dans le placard ? Les musées d’archéologie face aux restes humains. Actualités des études anciennes. Consulté le 9 décembre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12jm1